L’enfant hyperactif, vraiment hyperactif, est insupportable dans la vie de tous les jours, pour sa famille, pour les professionnels de l’enfance, pour les enseignants, mais surtout pour lui-même. C’est avant tout un enfant qui souffre. Cet enfant-là doit être diagnostiqué au plut tôt. Actuellement, les parents, condamnés au nomadisme médical, connaissent une errance de plusieurs années. Le retard dans la prise en charge est, hélas, une perte de chance pour l’enfant. D’où l’intérêt de la recommandation de bonne pratique de la Haute autorité de santé (HAS) rendue publique le 12 février sur « La conduite à tenir en médecine de premier recours devant un enfant susceptible d’avoir un ...
[90% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Club Santé Social
VOUS N'êTES PAS ABONNé ?
Testez notre Offre Découverte Club Santé Social pendant 15 jours
J’en profiteRéférences
Thèmes abordés