En 2012, quand il a fallu se conformer aux nouvelles exigences de la prestation de service unique (PSU), versée par les CAF, Lynda Noiseux, directrice du multi-accueil associatif Les Renardeaux, et d’une microcrèche (membre de l’Association des collectifs enfants parents professionnels – ACEPP), à Villaz (Haute-Savoie) a souhaité procéder par étapes. « Comme beaucoup de crèches des environs, nous fonctionnions au forfait de neuf, dix ou onze heures par jour. Nous sommes passés à la facturation à l’heure en 2013. En contrepartie, nous avons fixé des limites aux parents afin que les enfants n’arrivent pas après 9h30, ni pendant l’heure du repas. Les petits peuvent ensuite partir ...
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