« Si vous devez parler de nous, surtout, pas d’angélisme ! », insiste Anne-Marie Trebulle, directrice des soins à la maison médicale Jeanne-Garnier. Une demande qui interpelle, l’établissement étant reconnu comme une structure modèle en matière de soins palliatifs. Et pourtant, c’est bien le message que veut faire passer la directrice des soins : même quand les rôles de chacun sont clairement définis et que les conditions d’exercice sont favorables, « rien n’est jamais acquis » dans la partition que jouent, au jour le jour, soignants et bénévoles, au chevet des personnes en fin de vie.
Ici, la présence des volontaires est historique : Jeanne-Garnier était, justement, une bénévole ...
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