Quand le directeur général de l’association Ariège assistance, Jean-Pierre Galtier, analyse la problématique des aides à domicile face à la fin de vie et au décès des personnes aidées, il distingue deux situations : « Soit le professionnel est sans contact avec les autres intervenants, soit, au contraire, il est intégré à une équipe. Cela change tout, en particulier dans les périodes critiques ». Passant parfois plusieurs heures par jour au domicile de la personne âgée ou malade, le professionnel peut être régulièrement interpellé sur son traitement, être exposé à sa douleur, faire parfois figure de confident, ou encore être sollicité par les proches. « En milieu rural, ...
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