Etat, collectivités, mouvement sportif, acteurs économiques et sociaux… la dernière ligne droite avant l’arrivée est amorcée pour l’ensemble des acteurs de la future agence nationale du sport. Déjà repoussée d’un mois, la création de ce groupement d’intérêt public (GIP) est prévue le 2 avril. Mais, en coulisses, les discussions sur ses statuts constitutifs se poursuivaient encore il y a une poignée de jours.
Au cœur des débats : le poids de chaque collège représenté au sein de l’agence, tête de pont du nouveau modèle sportif français, à « gouvernance partagée » et à « responsabilités réparties ». L’idée maîtresse est en effet de s’affranchir de la tutelle de l’Etat à l’œuvre depuis les années 1960. Et d’entrer dans une démarche de coconception des politiques sportives, grâce à laquelle les collectivités seraient également reconnues à hauteur de leur investissement dans le domaine : 12,1 milliards d’euros par an. Raison pour laquelle les droits de vote étaient initialement envisagés de façon équitable (30 %) entre l’Etat, les collectivités et le mouvement sportif. Les 10 % restants revenant aux représentants du secteur marchand.
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Gazette des Communes, Club Acteurs du sport
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