Une dizaine de jours seulement après la mise en cause du Samu dans le dĂ©cès de la jeune Naomi Musenga, Thomas Mesnier, dĂ©putĂ© (LREM) de Charente tire Ă son tour la sonnette d’alarme dans un rapport sur les soins dits non programmĂ©s qu’il a remis le 22 mai Ă Agnès Buzyn, ministre des SolidaritĂ©s et de la SantĂ©. Les soins non programmĂ©s s’entendent comme nĂ©cessitant une rĂ©ponse ou un avis mĂ©dical dans un dĂ©lai court (24 heures) mais ne relevant pas nĂ©cessairement des services d’urgence hospitaliers.
« Notre système de santĂ© est arrivĂ© Ă bout de souffle », note d’emblĂ©e l’ex-mĂ©decin du Samu d’AngoulĂŞme qui travaille sur le sujet depuis plusieurs mois. Le constat est sĂ©vère, mais pas nouveau : une part importante des demandes de soins non programmĂ©s « trouve ...
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