« Trois à quatre femmes victimes de violences passent chaque jour dans un cabinet médical », assène la professeure Dominique Le Gudulec, présidente de la Haute autorité de santé (HAS) à l’occasion, le 2 octobre, de la présentation de sa recommandation de bonne pratique (RBP) pour repérer et protéger les victimes de violences au sein du couple. À ses côtés ce jour-là, trois médecins et la directrice d’un centre qui intervient auprès des femmes victimes de violence en Ile-de-France : tous quatre ont participé à la réflexion sur le sujet. « Sur ce sujet mal connu, tabou et qui fait peur », il faut aider les médecins, mais pas seulement, « les dentistes, les kinésithérapeutes, les sages-femmes, les infirmiers et plus largement, tous les professionnels du monde du soin de premier recou ...
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