Selon les sondages, 90 % des personnes de plus de 60 ans, malades ou dépendantes, veulent vivre à domicile. La perte d’autonomie obère toutefois leurs possibilités de demeurer dans leur logement ou d’y rester dans des conditions favorables.
Pour répondre à leurs besoins en respectant ce désir, les pouvoirs publics lèvent les obstacles par le biais de plusieurs politiques publiques – vieillesse, santé, habitat – en combinant des aides humaines, techniques et financières.
Le maintien à domicile consiste ainsi à organiser une alternative à l’admission dans un établissement ou un service social ou médico-social. Le senior reçoit, dans son milieu de vie ordinaire, les prestations adaptées à sa prise en charge et à son accompagnement individualisé (code de l’action sociale et des familles (CASF) ...
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J’en profiteRéférences
- Loi n° 2015-1776 du 28 décembre 2015 relative à l’adaptation de la société au vieillissement.
- Décret n° 2018-1325 du 28 décembre 2018 relatif à l’expérimentation de dérogations au droit du travail dans le cadre de la mise en œuvre de prestations de suppléance à domicile du proche aidant et de séjours de répit aidants-aidés.
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