Ademe
La notion de conseil en mobilité a été introduite en 2000 par la loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains. Elle dispose que dans les agglomérations de plus de 100 000 habitants, l’autorité compétente en matière de transports publics met en place un service de conseil en mobilité. À ce jour, on en dénombre seulement une cinquantaine.
Ma Gazette
Sélectionnez vos thèmes et créez votre newsletter personnalisée
1. Définir le rôle du conseil en mobilité et le public cible
Il est important de bien définir les missions du conseil en mobilité. Éviter qu’il devienne une simple plateforme de renseignement des particuliers.
Il s’adresse en priorité selon la loi aux « employeurs et gestionnaires d’activités générant des flux de déplacements importants » : grosses entreprises, hôpitaux, administrations, commerces, établissements d’enseignement, etc.
L’expérience montre que les conseils génériques ne portent pas. Il faut donc cibler le public auquel on s’adresse. Par exemple, les nouveaux habitants d’un quartier, les seniors, etc.
2. Choisir le meilleur portage
Le conseil en mobilité est majoritairement traité en interne, mais est parfois externalisé, via une chambre de commerce et ...