Un tiers d’entre eux prend des antidépresseurs, un sur cinq n’a plus aucune vie sociale ni aucun loisir, et la moitié d’entre eux travaille à mi-temps, ce qui génère ce que Marie-Thérèse Boisseau, Présidente du Plan Qualité de vie des personnes atteintes de maladies chroniques, appelle le « stress bancaire ». Dans le même temps, leur implication auprès des personnes malades représente 500 00 emplois ETP…
Les débats et propositions exprimés lors de ces Assises ont été riches, à la fois en termes de réflexion et d’humanité. Les enjeux éthiques ont parfois amené à reconsidérer certaines questions, comme celle de la formation à la maladie, voire à certains gestes techniques, par exemple. Peut-elle faciliter la vie de l’aidant ou au contraire « instrumentaliser » ce dernier ? Et ...
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