La majorité de l’Assemblée des départements de France (ADF) n’a pas accepté la prise en charge financière par l’État du financement du revenu de solidarité active (RSA), telle que proposée par le Gouvernement. Même si des améliorations significatives étaient encore à apporter, je déplore vivement cette occasion manquée de réparer l’erreur des lois Raffarin de 2003.
Michel Dinet, mon prédécesseur à la tête du département de Meurthe-et-Moselle, a porté le premier l’idée qu’une action résolue contre la pauvreté ne peut passer par une fausse décentralisation du RSA, qui participe à l’inverse d’un accroissement des inégalités entre territoires. Le seul reste à charge par ...
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