348 hôpitaux de proximité vont être examinés à la loupe par les agences régionales de santé (ARS) : il s’agit des ex-hôpitaux locaux mais aussi des établissements ayant des profils similaires, c’est-à-dire qui assurent une activité de médecine, peuvent avoir un accueil des urgences mais n’ont pas de chirurgie, radiothérapie, réanimation, soins intensifs, IRM ni dialyse.
Une instruction de la direction générale de l’organisation des soins (DGOS) datée du 17 juillet leur a été adressée au courant de l’été complétée de deux annexes – deux autres devant leur parvenir ultérieurement.
Le travail d’analyse qui leur est demandé répond à l’engagement 11 du Pacte territoire santé du 13 décembre 2012 : « adapter les hôpitaux de proximité et responsabiliser les centres hospitaliers de niveau régional à l’égard de leur territoire », avec une nuance, pas seulement sémantique, qui parcourt le texte : « valoriser » remplace (ou précède) « adapter ». « La place des hôpitaux de proximité est ...
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J’en profiteRéférences
- Instruction n°DGOS/R2/R5//2014/222 du 17 juillet 2014 relative au positionnement des hôpitaux de proximité sur leur territoire et aux modalités de financement spécifique des ex-hôpitaux locaux
- Annexe 1 sur les atouts des hôpitaux de proximité, la diversité des prises en charges et exemples d’organisations mises en places dans ou autour de l’hôpital local
- Annexe 3 sur l’organisation interne, les modalités de partenariat et l’accueil des étudiants et interne de médecine générale
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