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Contrairement au second plan national d’action en faveur des milieux humides, le troisième (2014-2018), lancé le 15 juin dernier, a suscité peu de réactions des acteurs. Moins ambitieux, il prévoit peu de mesures phares, mais de vrais projets portés par des opérateurs identifiés.
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« Le fait même que ce plan existe est déjà un point positif », souligne Francis Muller, directeur du Pôle-relais tourbière à la Fédération des conservatoires d’espaces naturels, qui a mis en œuvre le programme Rhoméo, observatoire des zones humides du bassin Rhône-Méditerranée. « Même s’il n’y a pas de moyens financiers nouveaux, c’est important de citer les bons exemples. Cela suppose une aide du ministère, au moins administrative, pour porter des projets similaires à venir. » Ainsi, le plan incite par exemple à « mettre en place des projets « LIFE » à l’instar du ...