2014 sera l’année de la « massification » de l’application de la réforme des rythmes : les 80% des communes qui ne l’ont pas appliquée en septembre 2013 devront la mettre en vigueur à la rentrée prochaine. Elles devront résoudre deux grandes questions : celle du financement et celle du nombre adéquat d’encadrants des nouvelles activités éventuellement mises en place. Trois acteurs, membres du comité national de suivi de la réforme, tirent la sonnette d’alarme dans trois directions :
– Dans un récent communiqué, l’Association des maires de France a réitéré sa demande de pérennisation du fonds d’amorçage et d’harmonisation des règles d’interprétation par les CAF locales des critères de financement des « heures Peillon ».
– le SNUIPP, syndicat enseignant en élémentaire, refuse de ...
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