La vie à la ferme protège bien mieux des risques d’allergie que la vie urbaine, même dans les petites villes, selon les premières conclusions d’une étude menée depuis 2003 dans cinq pays européens, a indiqué une des coordinatrices françaises du projet.
« Un enfant élevé dans une ferme a environ deux fois moins de risque d’être sujet à une pathologie allergique qu’un enfant qui grandit en ville », a déclaré Dominique-Angèle Vuitton, professeur d’immunologie à l’université de Franche-Comté. Selon elle, « la consommation de lait cru » peut notamment expliquer cette « singularité ». »
Les coordonnateurs européens de cette étude, réunis à Arc-et-Senans (Doubs) devraient finaliser le ...
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