Face aux violences de Villiers-Le-Bel (Val-d’Oise), l’Association de la fondation étudiante pour la ville (Afev) estime «impossible de ne pas relier les actes désespérés au contexte social», tout en condamnant les «agissements violents». Elle s’inquiète de voir des «discours identiques à 2005», opposer les banlieues au reste de la France. L’Afev réagissait, le 29 novembre, aux affrontements entre policiers et jeunes de cette survenus dans cette commune la semaine dernière après la mort de deux adolescents.
«20% d’une génération quittent le système scolaire sans qualification et 40% des jeunes des quartiers sont au chômage», ajoute-t-elle, ce qui place l’éducation en tête des priorités pour réduire les inégalités dans les quartiers.
L’Afev ...
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