La FCPE, principale fédération des parents d’élèves du public, dit avoir observé « un certain nombre de dysfonctionnements » dans la mise en oeuvre, le 24 janvier, du service minimum d’accueil dans les écoles primaires, dans un communiqué diffusé le 25 janvier.
« Un certain nombre de dysfonctionnements dans la mise en oeuvre est apparu », écrit-elle, citant par exemple le cas de communes qui « ont assuré un service payant pour les familles (le coût pour les municipalités étant supérieur à la subvention allouée par l’Etat) ».
« D’autres, arguant le manque de places dans les centres de loisirs ou le manque d’animateurs, ont sélectionné les enfants accueillis » ...
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