L’inflation sur la viande met les cantines devant des difficultés d’approvisionnement. Même les acheteurs publics qui ont construit des filières courtes se retrouvent lâchés par des éleveurs qui, pour une fois, peuvent se rémunérer dignement, en vendant au plus offrant. « À Rungis, tous les jours, le kilo prend 15 centimes. Les prix se discutent au téléphone comme à la criée », témoignait Grégory Meche, directeur de la Caisse des écoles du 20ème arrondissement de Paris, le 18 novembre, au Salon des maires.
La courbe de cotation des viandes bovines 2025 de France AgriMer est d’ailleurs largement au-dessus de celles des années précédentes. La tendance est à la réduction du cheptel, chaque année, avec le vieillissement de la population d’éleveurs. Ce à quoi il faut ajouter ...
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