Pendant la crise sanitaire, l’Agence nationale de la cohésion des territoires (ANCT) avait sollicité le Centre national de ressources et d’appui aux conseils locaux de santé mentale pour recueillir des données sur la santé mentale au sein des quartiers prioritaires de la politique de la ville (QPV), anticipant un risque d’aggravation des inégalités. « La santé mentale était un sujet un peu compliqué à travailler au sein des QPV et les acteurs ne se sentaient pas suffisamment outillés », témoigne Sonia Charapoff, coordinatrice nationale des conseils locaux de santé mentale (CLSM) lors d’un webinaire le 27 novembre.
Un groupe de travail a alors élaboré un dispositif simple : une séance de sensibilisation de trois heures réunissant tous les acteurs du territoire – élus, psychiatres ...
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