L’entretien des terrains de sport reste une source de pollution des nappes phréatiques, y compris dans les communes dites « zéro phyto ». Les sécheresses fragilisent le gazon, le rendant de plus en plus sujet aux attaques de champignons. Ce qui peut inciter à davantage de traitements… Voire à passer aux terrains artificiels, susceptibles de larguer dans l’environnement des microplastiques inaltérables, des substances chimiques dans l’eau, ainsi que des phtalates et autres HAP cancérigènes dans l’air que respirent les joueurs (1).
Une solution naturelle, bio et française existe toutefois depuis une petite dizaine d’années, pour maintenir un gazon vert, sur un sol de terrain de sport bien vivant. Elle s’inspire des amendements de goémon utilisés par les paysans depuis des siècles. Près ...
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