« Il y a une nécessité absolue à soutenir les départements » dans la mise en œuvre des politiques de solidarité. Le plaidoyer est de Philippe Gouet, président du conseil départemental du Loir-et-Cher et du groupe de travail « santé » de Départements de France (DF). Interrogé le 16 septembre par la nouvelle commission d’enquête « sur les défaillances des politiques publiques de prise en charge de la santé mentale et du handicap et les coûts de ces défaillances pour la société », il a mis en cause le reste à charge des départements, passé de 61 % à 70 % en dix ans, pour la prestation de compensation du handicap (PCH) et l’allocation compensatrice pour tierce personne (ACTP).
Troubles psychiques à l’ASE
Alors que selon lui, 22 % des jeunes accueillis par l’aide sociale à l’enfance (ASE ...
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