La nouvelle convention entre les médecins et la Sécurité sociale a été signée le 25 août 2016. Sans l’appui des deux principaux syndicats de généralistes – la Confédération des syndicats médicaux français (CSMF) et le Syndicat des médecins libéraux (SML). L’accord de trois autres syndicats de la profession – MG France, Le Bloc et la FMF – a suffi. S’il a beaucoup été question de gros sous, et notamment du passage de la consultation chez le généraliste de 23 à 25 euros le 1er mai 2017, la convention doit également participer à la lutte contre les déserts médicaux.
Le Titre 1 prévoit en effet de « conforter l’accès aux soins ». « Les partenaires conventionnels souhaitent réaffirmer leur volonté de mettre en place une politique structurante visant à favoriser l’implantation et le maintien des médecins libéraux dans (les zones sous-dotées) », peut-on ainsi lire en introduction.
L’Union nationale des caisses d’assurance maladie et les syndicats se sont mis d’accord sur la création de quatre nouveaux contrats pour les zones sous-dotées visant à :
- « apporter une aide financière significative aux médecins s’y installant, lesquels doivent faire face aux frais d’investissement générés par le début d’activité en exercice libéral ;
- accompagner la transition entre les médecins préparant leur cessation d’exercice et ceux nouvellement installés dans leurs cabinets ...
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