Arpe
La technologie des bioréacteurs à membranes séduit de plus en plus de collectivités pour équiper leurs stations d’épuration. Les avantages avancés sont nombreux, mais sur le terrain la filière membranaire rencontre de nombreuses difficultés. Enquête.
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L’Agence régionale pour l’environnement et l’écodéveloppement (Arpe Paca) a mené pendant deux ans (2013 et 2014) une étude sur les treize bioréacteurs à membranes (BAM) que compte la région. L’étude se poursuit sur 2015. L’Irstea et le Satese 29 ont également mené des études similaires.
Utilisée tout d’abord pour l’eau potable, la technique a été étendue au traitement des eaux usées industrielles, puis des eaux urbaines. Les membranes utilisées en station d’épuration ont des pores d’environ 0,1 µm. Cette technique s’est fortement développée depuis une dizaine d’années, avec une croissance de 10 % par an. Ainsi, sur les treize que compte la région Paca, la première a été ...