« Notre secteur jeunesse-éducation populaire subit plusieurs types d’attaques : on perd des financements et l’administratif est de plus en plus compliqué, chronophage. Tout ça au détriment de l’action, des populations », souligne Stéphane Depoilly, directeur du Comité régional des associations de jeunesse et d’éducation populaire (Crajep) des Hauts-de-France.(1) Pour que ses membres maintiennent leurs activités, le comité a écrit une lettre ouverte aux décideurs publics qui alerte sur les risques en cas de nouvelles chutes de financement.
En Haute-Garonne, elles sont six associations(2) à avoir pris la plume pour demander au préfet, aux présidents d’intercommunalités, aux maires, aux présidents et directeurs d’organismes sociaux du département de « continuer à développer des politiques de ...
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