Après un été politiquement mouvementé et avec un nouvel exécutif à Matignon, où en sont les travaux du comité de filière animation que vous présidez ?
Il y a eu une période de flottement avec la dissolution de l’Assemblée nationale, les élections législatives et le gouvernement intérimaire qui en a découlé. Or notre comité a besoin, pour avancer, d’interlocuteurs. Les travaux ont donc été ralentis, et le bureau de rentrée que nous avons tenu le 9 septembre 2024 avait pour objectif de définir les pistes de travail prioritaires qu’on souhaitait présenter à notre futur ministre de tutelle, dont on ne connaissait pas encore l’identité. La nomination d’un nouveau ministre est toujours un moment important, car il faut réexpliquer les objectifs que l’on se donne, afin qu’il y porte un œil ...
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