Un gymnase passif ? La formule s’apparente à un oxymore et l’objet, à une incongruité, tellement la réputation de passoire thermique lui colle à la peau ! A Muttersholtz (Bas-Rhin), l’équipement se fond plutôt bien dans le paysage. « Ici, nous sommes un vrai territoire à énergie positive, à l’échelle municipale », lance le maire Patrick Barbier. « Les consommations au niveau de l’éclairage public, du chauffage et de l’électricité de nos bâtiments municipaux sont couvertes par notre production. Niché au cœur de ce village de 2 100 habitants, paré de bois, ce gymnase est en effet l’un des rares en France, à revendiquer le label Bepos.
Gymnases : les limites de la polyvalence
Inauguré en juin 2018, cet espace prenait autrefois la forme « d’une salle désuète, qui accueillait le club de ...
[80% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Club Acteurs du sport
VOUS N'êTES PAS ABONNé ?
Testez notre Offre Découverte Club acteurs du sport pendant 15 jours
J’en profiteCet article fait partie du Dossier
Gymnases : les limites de la polyvalence
Sommaire du dossier
- Gymnases : les limites de la polyvalence
- Un gymnase passif qui tient ses promesses
- « Il faut penser les gymnases autrement, qu’ils soient plus ouverts sur l’extérieur »
- Ouvrir l’accès aux équipements sportifs scolaires «pour bouger plus»
- Rouen : un nouveau gymnase orienté multisport
- Gymnases : quels sols sportifs choisir ?
- Escrime : la solution est dans le partage
- La Suze-sur-Sarthe: du gymnase au parc des sports
Thèmes abordés
