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Fin de vie

Les soignants restent frileux face au droit au « bien mourir »

Publié le 30/11/2018 • Par Nathalie Levray • dans : A la Une santé social, Dossier Santé Social

Le Centre national des soins palliatifs et de la fin de vie a évalué la pratique de la sédation profonde et continue jusqu’au décès instaurée par la loi Claeys-Leonetti. Malgré des résultats concernant trop peu d’établissements et services, la tendance sur deux ans montre une mauvaise appropriation du dispositif par les professionnels de santé. Le flirt entre SPCJD et euthanasie pose problème. Au même moment, la Société française d'accompagnement et de soins palliatifs affirme l’engagement des équipes de soins palliatifs dans la mise en œuvre des pratiques sédatives.

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« Hypocrisie ». Le terme est revenu plusieurs fois pour qualifier « la tentative désespérée de ne pas encourir le reproche de l’euthanasie » à l’occasion de la présentation de l’évaluation de la sédation profonde et continue jusqu’au décès (SPCJD) par le Centre national des soins palliatifs et de la fin de vie (CNSPFV).

En vigueur depuis deux ans, le dispositif « peine à se mettre en place sur le terrain ». Selon les remontées d’informations, obtenues de seulement 2 491 établissements sanitaires ou Ehpad et médecins généralistes, il y a presque une fois et demi plus de propositions par les équipes médicales (1 906) que de demandes par les patients ou leurs proches (1 321). Une grande part (80 %) des demandes et des propositions sont acceptées et mises en œuvre.

Des équipes médicales qui ...

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