Après ses études d’éducatrice spécialisée à Paris, Célia Della Tommasa trouve un poste, en tant que remplaçante, au sein d’un établissement pour adultes et jeunes handicapés, à Antony (Hauts-de-Seine) (1).
« À cette époque déjà, j’ai commencé à me poser des questions sur le libéral, notamment parce que mon père m’avait demandé pourquoi je n’exerçais pas mon métier de façon indépendante », explique-t-elle. Un mode d’exercice qui lui paraît impossible car « pour moi, la pratique de mon métier devait se faire en équipe ».
Elle se renseigne tout de même sur internet, et se rend compte que des éducateurs spécialisés exercent de cette manière. Elle contacte alors un comptable et Pôle Emploi « mais au moment de vraiment sauter le pas, j’ai reculé, je ne me sentais pas prête. Alors je suis ...
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