Le rapport de l’inspection générale des finances (IGF) et du Conseil général de l’environnement et du développement durable (CGEDD) paru le 11 octobre sur les aides publiques à la rénovation énergétique destinées aux ménages est critique : les résultats sont « modestes, au regard de l’effort financier réalisé ».
Tant les dispositifs fiscaux (crédit d’impôt transition énergétique (Cite), TVA à 5,5 %, écoprêt à taux zéro) que le programme Habiter mieux de l’Agence nationale de l’habitat (Anah) sont coûteux pour l’État (3,2 milliards d’euros en 2016) et leur efficacité en termes de qualité énergétique des travaux effectués et de volumes réalisés n’est pas démontrée. L’IGF et le CGEDD trouvent là une convergence avec Bruno Lechevin, président de l’Ademe et de l’Observatoire national de la ...
[90% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Club Santé Social
VOUS N'êTES PAS ABONNé ?
Testez notre Offre Découverte Club Santé Social pendant 15 jours
J’en profiteThèmes abordés