«La dimension sociale dans les documents d’urbanisme est faible et l’étanchéité entre les deux domaines est forte », constate Sylvie Fol, professeure en aménagement et urbanisme à Paris I. « Les relations entre les acteurs sociaux et ceux de l’urbanisme ne sont ni naturelles, ni spontanées », ajoute-t-elle et cela malgré les perspectives ouvertes par la loi Solidarité et renouvellement urbains (SRU).
Aurélien Delpirou, urbaniste et géographe à l’université Paris-Est Créteil, témoigne lui aussi de l’apparition de la question sociale dans les lois relatives à l’urbanisme, et notamment sa présence dans le schéma de cohérence territoriale (Scot), document stratégique de planification du ...
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