«Des constats peuvent être dressés dans l’ABS, et servir de base à des discussions et à des mesures, mais cela n’induit pas nécessairement de lien direct avec la mise en œuvre d’actions », estime Gildas Manchec, directeur général du CCAS de Besançon et DGA de la ville. Selon lui, se saisir et transformer une observation en action est difficile pour l’ensemble des acteurs impliqués. À titre d’exemple, « il y a deux ans, notre ABS a fait un focus sur la pauvreté de l’enfance. La tentation aurait pu être de se dire qu’on va agir sur ce problème. Or, il s’agit d’une compétence départementale ! »
Il faut selon lui avoir conscience que l’action sociale municipale ne pourra jamais ...
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- C’est le recensement de la population en 1999 qui a servi de point de départ à la première ABS de la ville.
- Partenaires : conseil général, Caf, service urbanisme de la ville, partenaires sociaux, associations, Éducation nationale, maisons de quartier, Protection judiciaire de la jeunesse, etc.
- Coût: deux attachés y consacrent une partie de leur travail soit environ 15.000 à 20.000 euros maximum par an.
- Contact: Marie Lavigne, attachée au Sabe, marie.lavigne@besancon.fr
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