1. S’adapter aux réactions
Au Japon, où la robotique pallie le manque de main-d’œuvre et le vieillissement de la population, il n’est pas rare qu’un robot humanoïde soit chargé des cours de gym pour les résidents des maisons de retraite. Depuis 2003, celles-ci utilisent aussi, pour les personnes souffrant de maladies neurodégénératives, un petit phoque en peluche : Paro. D’une cinquantaine de centimètres, pesant 2,5 kg, recouvert de peluche, c’est un concentré d’intelligence artificielle. Ses capteurs (toucher, positionnement, lumière) et microphones lui permettent d’adapter ses mouvements et son intonation aux réactions d’une personne. Il cligne des yeux, remue la queue, actionne ses ...
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