La situation de Vincent Lambert, tétraplégique en état pauci-relationnel – autrement dit dans un état de conscience minimal -, est devenue le symbole d’une carence de la législation française en matière d’euthanasie passive. La saisine de la plus haute juridiction administrative résonnait donc comme un espoir de clarté juridique. Mais en demandant une expertise médicale complémentaire, le 14 février, l’assemblée du contentieux du Conseil d’Etat a déçu.
Pourtant, en renvoyant à une expertise médicale complémentaire, le Conseil d’Etat ne fait qu’insister sur le caractère potentiellement irréversible de sa décision. De plus, compte-tenu de la difficulté de ces questions à la fois ...
[70% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Club Santé Social
VOUS N'êTES PAS ABONNé ?
Testez notre Offre Découverte Club Santé Social pendant 15 jours
J’en profiteThèmes abordés