Toutefois, une patiente qui n’a reçu aucune information sur l’intérêt de la vaccination ou sur ses risques, dont les experts, comme la quasi-unanimité des scientifiques, écartent tout lien de causalité entre le vaccin contre l’hépatite B et l’apparition de la sclérose latérale amyotrophique (SLA), qui n’est pas une maladie auto-immune mais une dégénérescence des motoneurones, et que ni la notice du GenHevac B ni le dictionnaire médical Vidal ne mettaient en garde contre une éventualité d’apparition d’une SLA après une vaccination par GenHevac B, ne peut bénéficier d’une réparation devant le juge.
...
Article réservé aux abonnés
Club Santé Social
VOUS N'êTES PAS ABONNé ?
Testez notre Offre Découverte Club Santé Social pendant 15 jours
J’en profiteThèmes abordés