Plante et Cité
Il ne s’agit pas d’éradiquer les ravageurs mais de maintenir leur nombre sous le seuil de nuisibilité. Les méthodes non chimiques doivent être privilégiées et combinées. En cas d’échec, le recours aux produits de biocontrôles est recommandé.
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1. Opter pour la lutte intégrée
Cette conception de la protection des plantes privilégie les méthodes non chimiques de lutte contre les bio-agresseurs, ces organismes vivants qui attaquent les plantes cultivées. Il ne s’agit pas de remplacer un traitement phytosanitaire par un produit même naturel. « Naturel » ne signifie pas inoffensif. Les insecticides, quels qu’ils soient, sont destinés à tuer », prévient Maxime Guerin, chargée d’études à l’association Plante & Cité. Ils sont donc susceptibles de produire des effets collatéraux et de supprimer aussi les insectes auxiliaires, comme les coccinelles, les chrysopes ou les ...