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[Tribune] Aide aux séjours irréguliers

Délit de solidarité : en finir pour de bon

Publié le 11/09/2018 • Par Brigitte Menguy • dans : A la Une santé social, Dossier Santé Social

franchissement frontière ligne continue baskets
(C)2014 Igor Stevanovic, all rights reserved
Le cas de Martine Landry, une responsable locale d’Amnesty International, poursuivie pour "aide à l’entrée sur le territoire de deux mineurs en situation irrégulière", avait ému l’opinion publique au printemps. Relaxée le 13 juillet, la militante s’était dite "soulagée" par ce jugement. Mais c’était sans compter l’appel du parquet.

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«Nous apprenons avec consternation l’appel par le procureur général d’Aix-en-Provence du jugement du tribunal correctionnel de Nice qui avait prononcé la relaxe de Martine Landry le 13 juillet dernier ». Ce sont par ces mots qu’Amnesty International a annoncé fin juillet, dans un communiqué, sa consternation d’apprendre qu’une de leurs responsables locales, Martine Landry, voyait sa relaxe remise en compte par le parquet.

Selon Amnesty International, cette décision est surprenante : « le parquet est garant de l’intérêt public. En première instance, la procureure avait demandé la relaxe. Il est assez étonnant que la protection de ce même intérêt public exige une condamnation dix jours après la relaxe obtenue ».

D’autant plus que, dans le cas de Martine Landry, le tribunal a indiqué que ...

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