«Nous apprenons avec consternation l’appel par le procureur général d’Aix-en-Provence du jugement du tribunal correctionnel de Nice qui avait prononcé la relaxe de Martine Landry le 13 juillet dernier ». Ce sont par ces mots qu’Amnesty International a annoncé fin juillet, dans un communiqué, sa consternation d’apprendre qu’une de leurs responsables locales, Martine Landry, voyait sa relaxe remise en compte par le parquet.
Selon Amnesty International, cette décision est surprenante : « le parquet est garant de l’intérêt public. En première instance, la procureure avait demandé la relaxe. Il est assez étonnant que la protection de ce même intérêt public exige une condamnation dix jours après la relaxe obtenue ».
D’autant plus que, dans le cas de Martine Landry, le tribunal a indiqué que ...
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