Centre de soins pour personnes sans couverture sociale, équipe mobile « santé mentale précarité », hôpitaux, établissement public de santé mentale (EPSM), structures d’accueil et d’hébergement pour personnes en situation d’exclusion… une vingtaine de partenaires travaillent ensemble dans la métropole lilloise au sein du Réseau santé solidarité créé en 2005. Leur objectif : « faire en sorte que la situation de précarité ne soit pas un facteur excluant du système de santé », explique Christelle Lemaire, coordinatrice du réseau (1).
Les soins constituent souvent le premier poste de privation pour les personnes marginalisées, migrantes ou « sans droits », les plus exposées aux effets des conditions de vie difficiles sur leur santé. Des personnes qui n’ont parfois plus « la capacité de demander ...
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