« Seulement 3 % de nos budgets de santé sont consacrés à la prévention, contre 80 % consacrés au traitement des maladies ; ce n’est tout simplement pas suffisant. Nous avons besoin d’un meilleur accès aux soins primaires, afin que les salles d’urgence ne soient pas le premier point de chute », a commenté à cette occasion le commissaire européen Vytenis Andriukaitis qui insiste sur la promotion de la santé et la prévention des maladies.
Soins primaires
Le rapport dresse cinq conclusions. Sur la promotion de la santé et la prévention des maladies, il préconise de remédier aux inégalités sociales dont témoignent les disparités en matière de dépistage du cancer ou d’activité physique selon que la personne a un revenu et un niveau d’éducation élevés ou faibles.
Second constat : un système de ...
[60% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Club Santé Social
VOUS N'êTES PAS ABONNé ?
Testez notre Offre Découverte Club Santé Social pendant 15 jours
J’en profiteThèmes abordés