«Des entreprises qui placent l’humain avant le profit » : l’économie sociale et solidaire (ESS) est souvent présentée sous ce généreux principe. Et dans le secteur de la santé et de l’action sociale, le parti pris sonne comme une évidence. Les associations, mutuelles ou fondations y ont été constituées pour aider des personnes vulnérables. La plupart des acteurs ne poursuivent aucun but lucratif ; les coopératives sont rares (1).
Faible turn-over
S’il bénéficie aux usagers, cet humanisme profite-t-il aux salariés ? Les conditions de travail sont-elles plus avantageuses dans le secteur privé non lucratif que chez les opérateurs publics ou commerciaux ? « Difficile de répondre autrement ...
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