Le travail social « doit se mettre à nu ; à défaut, il risque d’être amputé de parties invisibles », s’alarmait Elsa Melon, présidente de l’Association nationale des assistants de service social (Anas), en ouverture des journées d’étude 2012 de l’association. Car au-delà d’innombrables réussites, le travail social n’est apprécié, évalué ou reconnu qu’à travers le prisme des attentes de ses interlocuteurs. Le nombre de visiteurs à une permanence qualifierait-il le travail de fond réalisé avec une famille ? « A cet égard, le pari de l’évaluation a été gagné, si l’on considère l’amélioration de la qualité par l’usage de ces outils qui ont permis de repenser ...
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