Ce n’est pas dans leurs habitudes. « Une question d’éthique, de déontologie professionnelle. Notre place, elle est face aux gamins, pas à battre le pavé », assure Marie Baggio, secrétaire générale adjointe du SEP (Syndicat d’éducation populaire)-Unsa.
Pourtant, à trois reprises depuis la rentrée scolaire (5 et 19 septembre, 13 octobre), les animateurs, tous syndicats confondus, se sont retrouvés derrière les banderoles. Ils réclament le retour aux taux d’encadrement des temps d’activités périscolaires (TAP) de un pour dix enfants de moins de 6 ans et de un pour quatorze enfants pour les plus de 6 ans ; ils sont aujourd’hui de un pour quatorze pour les moins de 6 ans et de un pour dix-huit enfants pour les plus de 6 ans.
Passage en force
Arrivant à expiration le 2 août 2016, le décret ...
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