Ce protocole met en effet fin à une discrimination à l’encontre des enfants (1) qui ne disposaient pas, contrairement aux adultes, de voie de recours internationale en cas de violation de leurs droits fondamentaux non résolue par les juridictions nationales. Demain, ils pourront « demander justice » en soumettant leur cas au Comité des droits de l’enfant de l’ONU qui constituera peu à peu une sorte de jurisprudence d’application de la convention. C’est particulièrement important dans notre pays où l’enfant, quasi incapable juridique, ne peut saisir aucune juridiction si ce n’est le juge des enfants.
Les institutions, les professionnels de l’enfance – ou ses ...
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