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En ville, les vélos oubliés ou abandonnés qui dépérissent au bout de leurs antivols posent de plus en plus problème. Les services techniques - déchets et voirie en particulier - doivent donc travailler de pair avec la police municipale pour s’occuper de ces objets qui peuvent devenir des déchets d’un genre particulier.
Ma Gazette
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Plus de vélos dans le paysage d’une ville, c’est agréable. Sauf quand ces vélos deviennent des épaves qui rouillent au coin des rues. Revers de la médaille d’une politique « vélo » forte, certaines collectivités, souvent des grandes villes, mettent en place des dispositifs pour débarrasser la voirie des vélos ventouses ou abandonnés.
N’étant pas immatriculé, un vélo est considéré comme faisant partie du mobilier urbain. Attaché sur la voirie, sa nature peut changer, selon son état. D’objet gênant le passage, s’il est attaché à un endroit inadéquat, il peut aussi devenir déchet urbain s’il est trop dégradé pour être utilisé. La prise en charge par les services municipaux est alors différente. S’agissant du stationnement sauvage ou de (trop) longue durée, ce sont alors les services de mise ...