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A travers la charte départementale de l’assainissement non collectif, signée le 2 février à Cahors, le conseil général et ses partenaires (Etat, association des élus du Lot, Agence de l’eau Adour-Garonne, CCI, chambre des métiers, professionnels du secteur, représentants des Spanc) s’engagent à mettre en commun leurs moyens pour atteindre une plus grande cohérence en matière de contrôle, d’entretien, de réalisation et de réhabilitation des dispositifs.
Il s’agit aussi de faciliter le travail des 40 collectivités dotées d’un Spanc (services publics d’assainissement non collectif). Des formations à l’attention des élus et des techniciens, des bilans annuels et des protocoles spécifiques, avec notamment les professionnels de la filière, doivent permettre d’atteindre cet objectif. Le Satese (service d’assainissement technique à l’épuration et au suivi des eaux du conseil général) servira de cheville ouvrière. Dans un département caractérisé par un sol karstique, particulièrement perméable aux polluants, l’enjeu consiste à réduire l’impact des rejets d’eaux usées, d’autant qu’un Lotois sur deux est relié au réseau d’assainissement collectif.