Deux cents litres d’eau potable par personne et par jour. Ce serait la consommation moyenne d’un habitant français, consommations déportées incluses. Élus et techniciens savent pourtant que ce ratio est très variable d’une commune à l’autre. Donc difficile à utiliser. Il est nécessaire de faire le point sur les causes qui expliquent ces variations.
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Quels sont donc les facteurs qui expliquent cette variabilité de la consommation moyenne par habitant ? Et que peut-on en déduire quant à la prévision de l’évolution future de la demande en eau potable ?
Pour aborder ces questions, le BRGM et le conseil général de l’Hérault se sont associés pour réaliser une étude statistique, dans le cadre du projet européen « Water & territories » (WAT), inscrit au programme InterReg SudOE.
Un territoire d’étude hétérogène
Le territoire d’étude retenu est représentatif de la diversité des situations démographiques, économiques, géographiques et ...
