En parallèle aux techniques physicochimiques traditionnelles d’épuration des eaux usées, la phytoépuration intéresse de plus en plus de collectivités. L’efficacité épuratoire, l’impact paysager et le rôle dans la biodiversité sont ses principaux atouts. Mais sa mise en place doit être soignée et relève de sociétés spécialisées.
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Le rôle des zones humides dans l’assainissement naturel était connu et pratiqué depuis longtemps. Mais le travail de recherche sur les techniques épuratoires de milieux plantés de macrophytes n’a débuté que depuis une cinquantaine d’années. Des spécialistes ont depuis développé et amélioré les filières appelées « constructed wetlands » (ou « zones humides construites » en français) pour traiter les eaux usées.
Dénommée désormais « phytoépuration », cette technique dérivée du lagunage naturel s’est donc inspirée des zones humides pour se substituer aux ...