Paul, allocataire du RMI, avait besoin de matériel informatique pour développer son activité d’animateur d’échecs : « Malheureusement, mon statut faisait peur aux banques, qui m’ont toutes refusé l’accès au crédit. » C’est son référent RMI au conseil général de la Mayenne qui l’a orienté vers le centre communal d’action sociale (CCAS) de Laval. Dans le cadre du dispositif de microcrédit personnel, le jeune homme a obtenu un prêt de 1 500 euros, au taux du livret A. Depuis septembre, il rembourse quarante-sept euros par mois, « sans souci », assure-t-il.
Coup de pouce
Quarante-deux CCAS sont ainsi engagés dans la ...
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