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Déserts médicaux

Les très étonnantes propositions des médecins pour lutter contre les déserts médicaux

Publié le 24/07/2017 • Par Catherine Maisonneuve • dans : Actu expert santé social, France

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Schlierner - Fotolia
Un plan de lutte contre les déserts médicaux sera présenté en septembre. La ministre des Solidarités et de la Santé a lancé la concertation et les premiers sollicités, les syndicats de médecins libéraux, ont fait connaître leurs propositions pour le moins surprenantes. Avec en toile de fond le nouveau zonage des territoires sous-denses, encore en chantier, qui suscite les inquiétudes des collectivités.

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Dans sa déclaration de politique générale devant les députés, le 4 juillet, Edouard Philippe a annoncé un plan de lutte contre les déserts médicaux qui serait déployé « en bonne intelligence avec les collectivités territoriales ». Sans en dire beaucoup plus. Seul indice donné par le Premier ministre, la télémédecine  sera « favorisée ».

Lors de la conférence nationale des territoires du 17 juillet, le président de la République a annoncé, lui, le doublement des maisons de santé pluriprofessionnelles (MSP) d’ici à 2022. Le Pacte Territoire Santé 2 en prévoyait 1 000 en 2017, cela en ferait 2 000. Mais les MSP ne sont pas l’alpha et l’omega de la lutte contre les déserts médicaux…

Des mesures applicables en 2018

Auditionnée le 18 juillet par la commission des affaires ...

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Commentaires

Les très étonnantes propositions des médecins pour lutter contre les déserts médicaux

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Thomas

24/07/2017 09h16

Très étonnantes partialité et méconnaissance de la sous-valorisation française des médecins généralistes. Bientôt, on vous trouvera très étonnée de ne plus en trouver du tout…

Le K

25/07/2017 11h30

Thomas,
C’est une piste, je sais que c’est pas top (en terme d’égalité) mais c’est quand même dommage de laisser partir des candidats pour 1 points ou 1/2 points… Certaines formation (directeur d’hôpital) sont bien assortie d’une obligation de servir le public pendant quelques années. Alors peut-être augmenter le numérus clausus et assortir la formation d’une obligation de servir dans les déserts médicaux (en intégrant un système de vœux géographiques en fonction du mérite).

Le K

25/07/2017 11h14

Moi je pense à des solutions comme : augmenter le nombre de médecins au lieu de refuser la formation à des bacheliers dont certains ont eu la mention TB et qui après deux années d’échec en 1ere année de médecine, abandonnent pour aller faire autre chose (alors qu’ils auraient pu faire de bons médecins). Au lieu de recruter des médecins étrangers qui valident leurs diplômes par un système d’équivalence… Certes ces médecins n’ont pas « coûté » à la France puisqu’ils ont été formés à l’étranger. Augmentons plutôt le numérus clausus, et les 100 derniers candidats auront le choix : soit ils sont recalés, soit ils peuvent se former avec l’obligation d’installation 10 ou 15 années dans les régions de déserts médicaux (voilà c’est une piste raisonnable mais qui coutera à la France puisqu’il faudra former un peu plus de médecins).

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