Parce que « le sida se soigne aussi par la politique », l’association des élus locaux contre le sida, fondée en 1995 par Jean-Luc Romero-Michel (PS), sonne à nouveau le tocsin de la mobilisation des collectivités. Alors qu’aujourd’hui en France, le sida ne tue plus, il reste deux grands chantiers sur l’écheveau : la prévention, alors que certaines populations comme les migrants, les travailleurs du sexe ou les habitants d’Outre-Mer, restent les plus vulnérables et la lutte contre les discriminations, qui isolent les séropositifs, comme les populations LGBT.
« Et si les collectivités décidaient d’en faire plus pour lutter contre le sida ? », se demande donc à la tribune des états généraux de l’association, Annick Girardin, la ministre de la Fonction publique. Qui insiste en ...
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