PHOVOIR
La réforme des rythmes scolaires rendue obligatoire depuis la dernière rentrée a conduit les collectivités a faire évoluer leurs offres de transports scolaires. Comment cette adaptation a-t-elle été mise en place ? Quel a été son impact financier ? Comment a-t-elle été négociée avec les transporteurs ?
Ma Gazette
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Lors de la rentrée de septembre 2013, seuls 17 % des communes avaient mis en œuvre la réforme des rythmes scolaires voulue par l’État, mais que beaucoup de maires jugeaient « non concertée, complexe, trop coûteuse, voire parfaitement inutile ».
Les nouveaux rythmes scolaires sources de contraintes – Nombre de municipalités s’inquiètent ainsi du poids considérable que fait peser cette réforme sur leurs finances. Compte tenu des contraintes budgétaires, et en l’absence d’une compensation étatique suffisante, beaucoup de décideurs locaux craignent, non sans raison, d’énormes difficultés à venir. Les charges augmentent donc, alors que les dotations de l’État sont en baisse. En tout état de cause, le fonds d’amorçage de 370 millions d’euros prévu pour 2014 s’avère trop faible ...